Chers leaders panafricains, Chers responsables et membres engagés, Nous entrons désormais dans une nouvelle dynamique stratégique. La coalition n’est plus…
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Silence des élites, vacarme des médiocrités Je me pose une question simple, mais fondamentale : où est passée l’élite intellectuelle…
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En scrollant sur le Net, je suis tombé sur une vidéo où Amath Aïdara et ses co-débatteurs font allusion à…
Lire la suite»Bonne question ! On n’aura jamais de cesse de parler du cas Farba Ngom tant qu’il restera en prison. J’ai…
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Mes chers compatriotes, Chers Patriotes, Chers Panafricains, Amoureux de l’Afrique et du Sénégal, Depuis quelque temps, j’entends des mots lourds…
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Guy Marius Sagna, député, a exprimé sa satisfaction quant à la décision du gouvernement de nommer un nouveau directeur général à l’Agence de promotion des sites industriels (APROSI). Dans une note reçue, le parlementaire a souligné avoir posé au gouvernement, le 9 juillet 2025, une question écrite concernant la gestion du DG de l’APROSI. « Le gouvernement vient de nous notifier le changement du directeur général de l’APROSI. Ce gouvernement représente le Jub, Jubal et Jubbanti. « Et nous l’accueillons avec satisfaction et l’incitons à continuer d’agir de la sorte avec fermeté face aux actes de gestion défaillante, que ce soit pour ceux qui nous ont précédés ou pour nous qui sommes actuellement en fonction », a déclaré le député. Objet : administration par le DG de l’APROSI Monsieur le Ministre, est-il vrai que, malgré un endettement considérable et les difficultés majeures de l’agence, le directeur général de l’APROSI a procédé à la location d’un véhicule pour un montant supérieur à 4,7 millions de francs CFA par mois depuis 10 mois ? Le DG de l’APROSI a-t-il illégalement utilisé 500 l de carburant, alors qu’il bénéficie d’une indemnité couvrant les frais de carburant et de téléphone ? Est-il vrai que le DG de l’APROSI a effectué au moins neuf voyages en 10 mois, et qu’à chaque fois – pour presque tous ces voyages – il passe par Paris et y revient après la (mission) avant de rentrer à Dakar ?
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Les employés de l’hôpital Mame Abdou Aziz Sy Dabbakh de Tivaouane, organisés au sein d’une intersyndicale comprenant le Sutsas, le Syntras, le Sames, le Satsus, le Sdt/3S et le Sacsas, ont finalement décidé de mettre en œuvre leur plan d’actions. Ce fait suite à leur assemblée générale du 30 octobre 2025, au cours de laquelle ils ont dénoncé les « conditions de travail catastrophiques de l’hôpital Mame Abdou Aziz Sy Tivaouane (problèmes électriques, dégradation et vétusté des bâtiments, etc.) ». En outre, l’organisation syndicale a exprimé son désaccord concernant les affectations arbitraires et ciblées de certains spécialistes vers le nouvel hôpital. Ce sont là autant de reproches qui rendent légitime le port de brassards rouges (lundi 10 novembre), l’organisation d’un sit-in suivi d’un point presse (mercredi 12 novembre) et la réalisation de visites de sensibilisation sur la situation auprès des autorités religieuses, politiques et administratives. Après ces actions, il y aura une demande de marche pacifique.
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La désignation d’Aminata Touré à la direction de la coalition « Diomaye Président », en remplacement d’Aïssatou Mbodj, suscite depuis hier des désaccords entre le Président Diomaye et le parti Pastef dirigé par Ousmane Sonko. Des réactions émergent de tous côtés, et chacun exprime son opinion sur la nature de la relation entre Sonko et Diomaye. Ce duo ne communique plus de la même manière. En réponse à cela, Waly Diouf Bodiang, responsable de Pastef et Directeur général du Port autonome de Dakar, a exprimé sa position. « Tout ce qui se fait en dehors de Pastef ne m’intéresse pas politiquement. » Selon Waly Diouf Bodiang, « Mon horizon et mon périmètre politiques se limitent uniquement à Ousmane Sonko. »
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AU TITRE DE LA COMMUNICATION DU PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE Le Chef de l’Etat a fait une communication portant sur…
Lire la suite»J’ai été surpris de lire le récent communiqué de PASTEF. À ma connaissance, lors de la rencontre de la conférence…
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Camarades, Compatriotes, jeunesse du Sénégal, L’histoire de notre pays semble tourner en rond. À chaque élection, ce sont les mêmes…
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J’ai suivi avec attention le discours du Premier ministre Ousmane Sonko au Terra Meeting. C’était un moment politique fort, à…
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L’attente fut longue. L’espérance immense. Les préparatifs, éprouvants, avaient exigé des sacrifices hors du commun : nuits sans sommeil, dépenses…
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Je réclame un peu de respect. En lisant la sortie de Pape Malick Ndour, qui affirme n’avoir jamais été gestionnaire…
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Il y a des hommes qui naissent avec des convictions, et d’autres qui vivent de compromissions. Monsieur Déthié FALL appartient,…
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La politique n’est pas un champ de bataille où s’entre-déchirent des ambitions personnelles. Elle est un espace de service, de…
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Messieurs les Présidents de la CEDEAO et de la Mauritanie, n’attendez pas que Bamako tombe pour réagir. Les communiqués de…
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Ousmane Sonko a utilisé le Téra meeting comme une plateforme pour dénoncer les irrégularités dans la gestion des ressources naturelles ainsi que des contrats stratégiques liés au gaz et au pétrole. Il estime que les administrations antérieures ont engagé le pays dans des opérations non transparentes, au détriment de l’intérêt national. Le leader du Pastef a indiqué qu’il possède plusieurs rapports officiels, y compris celui du PRODAC, qui a été remis aux autorités judiciaires et qui est actuellement sur le bureau du procureur. « Beaucoup ont rejeté l’idée qu’un tel rapport existait, mais aujourd’hui, la justice se met en mouvement et les personnes concernées devront justifier leurs actes », a-t-il affirmé, mentionnant en particulier la récente mise en examen de Pape Malick Ndour dans ce dossier. Selon Ousmane Sonko, ces investigations sont cruciales pour rétablir la transparence dans l’administration des ressources nationales et défendre l’économie sénégalaise contre d’éventuels abus futurs. Le message est clair : aucun dossier sensible ne sera laissé de côté, et la justice poursuivra tous les cas jusqu’à leur conclusion.
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Lors du rassemblement politique du Pastef, qui a eu lieu samedi sur le parking du stade Léopold Sédar Senghor, Ousmane Sonko a reconnu que « les discussions avec le FMI ont été difficiles ». « Ils nous ont suggéré une restructuration de la dette, ce qui équivaudrait à déclarer que le Sénégal est en défaut de paiement, donc en quasi-faillite. Nous avons dit non. » Le chef du gouvernement a affirmé devant une foule compacte que le Sénégal « préfère rester un pays digne et fier plutôt que d’accepter une restructuration humiliante ». Il estime que cette décision, même si elle difficile, reflète la volonté des autorités de préserver la crédibilité internationale du pays tout en renforçant son indépendance économique. Ousmane Sonko a aussi critiqué les discours alarmistes de ses adversaires, qu’il a accusés de vouloir « manipuler l’opinion » concernant la politique de redressement budgétaire : « Certains affirment que nous cherchons à ruiner les Sénégalais par le biais des impôts. Cela est inexact. Nous avons opté pour la mobilisation de nos propres ressources plutôt que d’accepter une restructuration de la dette. » Il a voulu rassurer en affirmant que « ni le riz, ni le sucre, ni l’eau, ni l’électricité » ne connaîtra une augmentation des taxes. Sur cette même lancée, le chef du gouvernement a souligné l’importance d’une politique de rationalisation des dépenses publiques : diminution des budgets alloués aux séminaires, ateliers, voyages et achats de véhicules, ainsi que d’autres coupes ciblées. Il a indiqué qu’un comité budgétaire serait constitué afin d’approfondir les économies et de consolider la discipline financière de l’État. Pour clore son discours, Ousmane Sonko a lancé un appel aux Sénégalais à consentir « deux à trois années de sacrifices » pour permettre un redressement durable du pays. « Le peuple doit faire preuve de patience et de persévérance. « Les efforts d’aujourd’hui garantiront notre souveraineté économique demain », a-t-il déclaré, tandis qu’une salve d’applaudissements retentissait.
Lire la suite»Ousmane Sonko a, après avoir souligné que la justice était une prérogative du peuple sénégalais et non des magistrats, lancé un appel à rechercher les responsables de la vente des ressources pétrolières et gazières du Sénégal pour qu’ils rendent des comptes. Cependant, le chef de Pastef manifeste quelques regrets. « Le système que nous avons lutté contre demeure dans la justice, dans l’administration… Tant que ces personnes resteront présentes, elles annuleront toujours le résultat de nos efforts. Leur unique problème est Ousmane Sonko. « Il est temps de nettoyer », s’écrie-t-il. Il souligne en outre qu’il a été le premier à défendre une politique de tolérance zéro envers les personnes qui insultent. Cependant, il dénonce une observation qu’il considère comme suit : « Ceux qui sont dans la justice ont des agissements contre nous…
Lire la suite»Ousmane Sonko, lors de son téra-meeting avec ses partisans du Pastef sur le parking du stade Léopold Sédar Senghor le samedi 08 novembre 2025, a souhaité clarifier la situation au sujet de sa relation avec le président Bassirou Diomaye Faye. Le chef du parti au pouvoir est sans ambiguïté : pas de problèmes en vue. « Certains espèrent des difficultés entre Ousmane Sonko et Bassirou Diomaye Faye. Une dissension ne viendra pas de moi,…
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Il existe une différence fondamentale entre être au pouvoir, exercer le pouvoir, avoir du pouvoir et tenir le pouvoir. Le…
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La Communauté Économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) a mis en garde le public contre la diffusion de…
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Jeudi dernier, l’Assemblée nationale a lancé son marathon budgétaire annuel. Les ministres passeront successivement devant la commission des Finances et du Contrôle budgétaire du 6 au 21 novembre pour plaider en faveur des crédits attribués à leurs départements dans le projet de loi de finances (PLF) pour 2026. Dans un contexte économique difficile et avec la découverte d’une « dette cachée » laissée par l’ancien régime de Macky Sall, cette séquence parlementaire promet d’être particulièrement observée. Le ministre des Finances et du Budget, Cheikh Diba, a ouvert la première journée en tandem avec son collègue de l’Économie, du Plan et de la Coopération, Abdourahmane Sarr. Cheikh Diba a soutenu un budget qu’il décrit comme « réaliste, prudent et ambitieux », en lien avec la vision du président Bassirou Diomaye Faye d’un « Sénégal souverain, juste et prospère à l’horizon 2050 » lors de son allocution. Devant les députés, le ministre a donné le ton : « Le budget 2026 symbolise notre passage d’une économie de résistance à une économie de performance et de souveraineté retrouvée. » Il a souligné que, d’après la Cour des comptes, le déficit budgétaire qui avait atteint 12 % du PIB en 2024 devait être réduit à 7,8 % en 2025, puis à 5,37 % en 2026 et enfin se stabiliser à 3 % en 2027, conformément aux normes de l’UEMOA. Le PLF 2026, avec des dépenses s’élevant à 7 433,9 milliards de FCFA et des recettes de 6 188,8 milliards de FCFA, repose sur trois axes : restaurer les équilibres macroéconomiques, moderniser la gestion budgétaire et financer un développement endogène et inclusif. Les priorités du gouvernement se concentrent sur l’éducation, la santé, la souveraineté alimentaire, la jeunesse, les infrastructures et la région de Casamance. « Mieux collecter pour mieux redistribuer, mieux dépenser pour mieux servir », a résumé le ministre, soulignant l’importance d’accroître la soutenabilité des finances publiques, de contrôler la masse salariale (qui se stabilise autour de 35 % des recettes fiscales) et de favoriser les financements concessionnels et verts. Cheikh Diba a également précisé les réformes structurelles à venir : poursuite du plan d’apurement des arrivées intérieures, numérisation de la gestion budgétaire, révision des codes fiscal et douanier, et mise en place d’une culture de performance centrée sur la transparence et la responsabilité. En ce qui concerne les priorités sectorielles, le budget 2026 prévoit : La construction ou la réhabilitation de 400 écoles et l’établissement des universités du Sénégal oriental et de Matam ; Le recrutement de 2 500 professionnels de santé et l’établissement de 35 infrastructures sanitaires ; Le soutien considérable à la mécanisation de l’agriculture et au redémarrage des filières locales ; Le financement de la seconde phase du TER et la mise à niveau de l’aéroport Blaise Diagne ; Un dispositif d’insertion pour 35 000 jeunes diplômés chaque année ; Et…
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